Le suicide de Hillary Clinton et la "maladie" de Jean Charest
Dans une entrevue sous caméra avec une équipe éditoriale du Dakota du Sud, Hillary Clinton se fait historienne en justifiant sa persistance à demeurer dans la course. Elle nous rappelle l'assassinat de Robert F. Kennedy en juin 1968 lors de la course à l'investitude démocrate. Ce qui pourrait vouloir dire : "On ne sait jamais...". Certains y ont vu pratiquement une incitation au malheur, en plus d'ouvrir une plaie nationale à l'heure du combat de Ted Kennedy pour sa propre survie. Évidemment, dans l'éventualité de l'assassinat d'Obama, Clinton aura eu raison de demeurer dans la course... Quelle femme visionnaire! Pour voir ce véritable suicide politique, cliquez ici.
Pour visionner le commentaire d'Olbermann sur le réseau MSNBC, cliquez ici.
Par ailleurs, le narcissisme de Jean Charest fait encore des ravages dans les journaux en ce samedi matin. Une pleine page dans un quotidien du Samedi coût environ 15 000$ de vos fonds publics. Il s'agit de la deuxième journée consécutive de Jean Charest à même nos taxes. Qui va arrêter Jean Charest dans sa "maladie" narcissique? Bien évidemment, avant de recevoir une autre mise-en-demeure du Premier Ministre, j'aimerais souligner qu'il n'est pas le seul à souffrir de cette "maladie" que l'on pourrait qualifier de "politicienne". À l'heure de l'image qui vaut mille mots, à quoi bon exprimer le vide de sa pensée quand cette seule image suffit? Les médias qui bénéficient des largesses du Premier Ministre à même nos fonds publics n'auront pas le courage de demander le coût total de cette facture scandaleuse. Les vieux partis ont toute cette même approche de copinage maladive. L'inceste médiatico-politique du parti libéral, la belle affaire au pays des co-sanguins...
Bonne fin de semaine.
Stéphane Gendron
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Par ailleurs, le narcissisme de Jean Charest fait encore des ravages dans les journaux en ce samedi matin. Une pleine page dans un quotidien du Samedi coût environ 15 000$ de vos fonds publics. Il s'agit de la deuxième journée consécutive de Jean Charest à même nos taxes. Qui va arrêter Jean Charest dans sa "maladie" narcissique? Bien évidemment, avant de recevoir une autre mise-en-demeure du Premier Ministre, j'aimerais souligner qu'il n'est pas le seul à souffrir de cette "maladie" que l'on pourrait qualifier de "politicienne". À l'heure de l'image qui vaut mille mots, à quoi bon exprimer le vide de sa pensée quand cette seule image suffit? Les médias qui bénéficient des largesses du Premier Ministre à même nos fonds publics n'auront pas le courage de demander le coût total de cette facture scandaleuse. Les vieux partis ont toute cette même approche de copinage maladive. L'inceste médiatico-politique du parti libéral, la belle affaire au pays des co-sanguins...
Bonne fin de semaine.
Stéphane Gendron