Logo en crise
Laissons la politique de côté pour rire d'une triste situation vécue par nos maîtres coloniaux de l'Angleterre: le logo et le vidéo promotionnel dévoilés par le Comité organisateurs des Jeux Olympiques de 2012 provoquent des crises d'épilepsie. On s'en est rendu compte durant la première diffusion du vidéo en simultané sur les différentes chaînes de télévision. On peut d'ailleurs consulter un article de la BBC sur cette affaire en consultant le lien suivant :
http://www.bbc.co.uk/dna/606/A23431826
Déjà, la controverse avait débuté avec une critique en règle du logo en question. Ce logo, conçu dans la mouvance de l'art urbain, n'a pas su faire l'unanimité. Puis, on a organisé une pétition afin que soit revue la conceptualisation du damné logo. Cette fois-ci, les pancartes et la contestation se sont invitées au débat. Rien n'est sans contestation dans notre culture occidentale.
Mais là où le vase déborde, c'est lorsque l'on a découvert que le vidéo en question n'était pas conforme à certaines normes scientifiques au niveau des vibrations hertziennes et de la photométrie, d'où le nombre élevé de crises d'épilepsie recensé à travers le Royaume: une douzaine selon les Hauts fonctionnaires de la santé publique.
Depuis ce temps, la honte a jeté son dévolu sur le Comité organisateur. Tout comme les fêtes du 400è de Québec, c'en est fini des Jeux Olypiques de 2012. Un échec assuré.
À suivre.
Stéphane Gendron
http://www.bbc.co.uk/dna/606/A23431826
Déjà, la controverse avait débuté avec une critique en règle du logo en question. Ce logo, conçu dans la mouvance de l'art urbain, n'a pas su faire l'unanimité. Puis, on a organisé une pétition afin que soit revue la conceptualisation du damné logo. Cette fois-ci, les pancartes et la contestation se sont invitées au débat. Rien n'est sans contestation dans notre culture occidentale.
Mais là où le vase déborde, c'est lorsque l'on a découvert que le vidéo en question n'était pas conforme à certaines normes scientifiques au niveau des vibrations hertziennes et de la photométrie, d'où le nombre élevé de crises d'épilepsie recensé à travers le Royaume: une douzaine selon les Hauts fonctionnaires de la santé publique.
Depuis ce temps, la honte a jeté son dévolu sur le Comité organisateur. Tout comme les fêtes du 400è de Québec, c'en est fini des Jeux Olypiques de 2012. Un échec assuré.
À suivre.
Stéphane Gendron