La traîte et l'esclavage au Québec
Les marchands d'esclaves sont devenus monnaie courante au Québec, surtout dans le monde agricole. André Noël journaliste à La Presse publie, depuis quelques jours certains faits troublants concernant le travail saisonnier de la Communauté mexicaine.
On le sait depuis longtemps: le travail agricole n'attire plus le "mainstream" québécois. J'ai été moi même un travailleur saisonnier dans mon jeune temps. Dès l'âge de 9 ans, j'ai commencé à travailler sur la terre (comme on disait), à St-Rémi. Je l'ai fait pendant 8 saison, pour ensuite me diriger à l'usine avec mon père. Salaire à l'époque chez Monette du Rang St-Paul à sarcler des oignons: 2$ l'heure. C'était un travail demandant mais formateur. Les patrons nous respectaient puisque nous étions du coin et que les familles se connaissaient tous.
Avec les Mexicains et les autres communautés "d'en dehors", il est devenu moins gênant pour certains producteurs d'abuser de la situation. On en profite, on les loge dans des camps de concentration, on prend possession de leurs papiers et passeports, et on contrôle la marchandise "humaine". Cette situation n'est pas celle de tous les producteurs mais de quelques pourris dont je vais taire les noms.
Pendant que l'on fait la traite humaine et de l'esclavage dans nos régions, nos élus ne font rien. On ferme les yeux sur ce qui pourrait faire l'objet d'un rapport d'Amnesty International tellement la situation est déguelasse. Où se cache le Ministre québécois de l'Agriculture ? La pulpeuse Ministre de l'Immigration Yolanda James ne pourrait-elle pas prendre position ? S'il y a un endroit où l'on devrait immédiatement instaurer une commission d'enquête publique ET policière, c'est bien dans ce domaine où les droits fondamentaux de ces humains sont carrément bafoués sur une base quotidienne.
Pour laisser un message d'indignation au Ministre de l'Agriculture, Laurent Lessard:
ministre.mapaq@mapaq.gouv.qc.ca
Pour laisser un message à la pulpeuse Yolanda James, Ministre de l'Immigration:
cabinet@micc.gouv.qc.ca
Il y a des limites à traiter les êtres humains comme des chiens...
Stéphane Gendron
Des travailleurs mexicains à St-Rémi : une richesse culturelle à partager.
On le sait depuis longtemps: le travail agricole n'attire plus le "mainstream" québécois. J'ai été moi même un travailleur saisonnier dans mon jeune temps. Dès l'âge de 9 ans, j'ai commencé à travailler sur la terre (comme on disait), à St-Rémi. Je l'ai fait pendant 8 saison, pour ensuite me diriger à l'usine avec mon père. Salaire à l'époque chez Monette du Rang St-Paul à sarcler des oignons: 2$ l'heure. C'était un travail demandant mais formateur. Les patrons nous respectaient puisque nous étions du coin et que les familles se connaissaient tous.
Avec les Mexicains et les autres communautés "d'en dehors", il est devenu moins gênant pour certains producteurs d'abuser de la situation. On en profite, on les loge dans des camps de concentration, on prend possession de leurs papiers et passeports, et on contrôle la marchandise "humaine". Cette situation n'est pas celle de tous les producteurs mais de quelques pourris dont je vais taire les noms.
Pendant que l'on fait la traite humaine et de l'esclavage dans nos régions, nos élus ne font rien. On ferme les yeux sur ce qui pourrait faire l'objet d'un rapport d'Amnesty International tellement la situation est déguelasse. Où se cache le Ministre québécois de l'Agriculture ? La pulpeuse Ministre de l'Immigration Yolanda James ne pourrait-elle pas prendre position ? S'il y a un endroit où l'on devrait immédiatement instaurer une commission d'enquête publique ET policière, c'est bien dans ce domaine où les droits fondamentaux de ces humains sont carrément bafoués sur une base quotidienne.
Pour laisser un message d'indignation au Ministre de l'Agriculture, Laurent Lessard:
ministre.mapaq@mapaq.gouv.qc.ca
Pour laisser un message à la pulpeuse Yolanda James, Ministre de l'Immigration:
cabinet@micc.gouv.qc.ca
Il y a des limites à traiter les êtres humains comme des chiens...
Stéphane Gendron
Des travailleurs mexicains à St-Rémi : une richesse culturelle à partager.