Les Has Been de la Communauté Cosanguine des médias
Vous les connaissez, ces Has Been de la communauté cosanguine des médias du Québec? Has Been parce qu'ils pensent faire la pluie et le beau temps depuis un bon moment. Cosanguinité parce que le Québec est petit. Trop petit pour avoir une véritable communauté journalistique et médiatique diversifiée. Comme m'avait dit Gretta Chambers à l'époque où elle était Chancelière de McGill en 1995: le Québec, c'est très paroissial, et elle avait raison.
La semaine dernière, mon collègue de Québécor - et ami (!) JJ Samson déblatairait une fois de plus sur mon aspiration à devenir chef d'une formation politique. Bien sûr, c'est son droit le plus fondamental. À lire son Blogue, il nous était impossible de détecter un moindre indice justifiant sa haine à mon égard. Si on pouvait identifier des éléments de mon bilan politique qui me disqualifie, je m'inclinerais volontier devant son jugement. Au contraire, qu'une longue tirade d'impressions et de sentiments. Le gars est sûrement trop émotif à mon endroit qu'il en perd la raison. J'avoue que ce genre de papier aide la cause puisque les gens sur le plancher n'y voient qu'une réaction jalouse. Idem pour un autre Has Been: Jean Lapierre. Une anecdote savoureuse à son sujet: alors que j'enregistrais une interview sur les marches de TVA à Montréal concernant la relance industrielle de la Ville, Lapierre arrive et s'avance pour me serrer la main. J'ai refusé par principe. Hier, j'étais avec un groupe d'adéquistes - dont un ancien député qui me racontait avoir eu affaire à la médecine Lapierre au caucus de l'ADQ de St-Michel des Saints. Lapierre avait fraternisé avec l'aile parlementaire autour d'un feu de camp le soir, chips et bières sur le bras. "Il était super sympathique à cette soirée, et le lendemain il nous a poignardé dans le dos en nous traitant de gang de scouts," de dire cet ancien député, déçu du personnage.
Parce que Jean Lapierre n'a aucune crédibilité sinon celle de fréquenter les cocktails, les black-tie parties, et les pique-assiette du gratin afin de téter de l'information et de jouer à la comère de perron d'église. Parle parle tant que tu voudras mon Jean. Tu n'es même pas capable d'identifier un seul élément de notre bilan des réalisations sur la scène politique qui pourrait nous porter ombrage. Alors, devant ce vide intellectuel, on devient émotif. C'est la même émotivité qui avait guidé cet ancien Ministre des Transports de Paul Martin à avoir congédié Jean Pelletier à deux reprises alors qu'il était à Via Rail. Cette folie émotive de Jean Lapierre a coûté combien de millions aux contribuables canadiens?
Sur ce, je vous souhaite une excellente fin de semaine en famille!
Stéphane Gendron
La semaine dernière, mon collègue de Québécor - et ami (!) JJ Samson déblatairait une fois de plus sur mon aspiration à devenir chef d'une formation politique. Bien sûr, c'est son droit le plus fondamental. À lire son Blogue, il nous était impossible de détecter un moindre indice justifiant sa haine à mon égard. Si on pouvait identifier des éléments de mon bilan politique qui me disqualifie, je m'inclinerais volontier devant son jugement. Au contraire, qu'une longue tirade d'impressions et de sentiments. Le gars est sûrement trop émotif à mon endroit qu'il en perd la raison. J'avoue que ce genre de papier aide la cause puisque les gens sur le plancher n'y voient qu'une réaction jalouse. Idem pour un autre Has Been: Jean Lapierre. Une anecdote savoureuse à son sujet: alors que j'enregistrais une interview sur les marches de TVA à Montréal concernant la relance industrielle de la Ville, Lapierre arrive et s'avance pour me serrer la main. J'ai refusé par principe. Hier, j'étais avec un groupe d'adéquistes - dont un ancien député qui me racontait avoir eu affaire à la médecine Lapierre au caucus de l'ADQ de St-Michel des Saints. Lapierre avait fraternisé avec l'aile parlementaire autour d'un feu de camp le soir, chips et bières sur le bras. "Il était super sympathique à cette soirée, et le lendemain il nous a poignardé dans le dos en nous traitant de gang de scouts," de dire cet ancien député, déçu du personnage.
Parce que Jean Lapierre n'a aucune crédibilité sinon celle de fréquenter les cocktails, les black-tie parties, et les pique-assiette du gratin afin de téter de l'information et de jouer à la comère de perron d'église. Parle parle tant que tu voudras mon Jean. Tu n'es même pas capable d'identifier un seul élément de notre bilan des réalisations sur la scène politique qui pourrait nous porter ombrage. Alors, devant ce vide intellectuel, on devient émotif. C'est la même émotivité qui avait guidé cet ancien Ministre des Transports de Paul Martin à avoir congédié Jean Pelletier à deux reprises alors qu'il était à Via Rail. Cette folie émotive de Jean Lapierre a coûté combien de millions aux contribuables canadiens?
Sur ce, je vous souhaite une excellente fin de semaine en famille!
Stéphane Gendron